Le saviez-vous ?

Saviez-vous qu’en France en 1900, l’espérance de vie était de 45 ans ?

Elle est aujourd’hui d’environ 83 ans et en 2025, la France est le pays européen comptant le plus de centenaires !

Le vieillissement n’arrive donc pas qu’aux autres, et c’est tant mieux !

Il nous concerne et nous concernera, et il est donc temps de s’y intéresser !

Mais ( il y a toujours un « mais » !), pour nos grands-parents, nos parents ou pour nous même, ce qui nous importe le plus ce n’est pas de donner des années de vie en plus, mais bien de donner de la vie aux années en plus !

Autrement dit, c’est la qualité de vie qu’il faut savoir préserver, ce qui implique un vieillissement « en bonne santé ».

En 2021, le constat de la cour des comptes est sans appel : « En France, l’espérance de vie de 65 ans est certes plus élevée que dans les autres pays européens, mais les années de vie en bonne santé ne représentent que la moitié de cette durée – un constat qui se révèle plus négatif que dans onze pays européens. »

Ainsi, si la France sait faire vieillir sa population, elle ne sait pas toujours la faire vieillir « en bonne santé ».

Être en bonne santé, d’après l’OMS, c’est être dans un état de complet bien-être physique, mental et social, [qui]ne consiste pas seulement en une absence de maladie ou d’infirmité.

Vieillir est donc une chance… à la condition de vieillir en bonne santé

Et c’est justement la mission de notre association Facilit’Age !

Quand on interroge une personne de 50 ans, de 70 ans voire de 80 ans, elle nous répond souvent : « c’est intéressant, mais je vais bien et je n’ai besoin de rien ».

Certes, il n’est jamais trop tard pour bien faire, mais pour être pleinement efficace, la prévention doit démarrer tôt car ce n’est pas une fois à l’hôpital pour une fracture du col du fémur qu’on pourra prévenir la 1ere chute, ni une fois rentré à son domicile avec une prothèse de hanche qu’on pourra adapter son logement…

Facilit’Age apporte une réponse adaptée dans 3 situations concrètes :

• Le sénior qui va bien mais qui souhaite agir dès 60 ans pour conserver son capital vitalité et autonomie en bénéficiant d’un véritable « coaching prévention et vitalité »,

• Le sénior fragilisé qui souhaite réduire les risques de la perte d’autonomie et améliorer sécurité et confort de vie à domicile,

• L’entourage d’une personne âgée vivant à domicile et qui souhaite renforcer la coordination et les axes de prévention autour de son proche fragile.